Ces experts de l’École de médecine de l’Université de Washington sont convaincus que les nouvelles pandémies sont favorisées par une proximité croissante entre la faune sauvage et l’Homme. Ils proposent ainsi, dans la revue Science, un système décentralisé pour surveiller la faune sauvage, en particulier lorsqu’elle est commercialisée sur des marchés ou « d’autres points chauds » à risque élevé de transmission inter-espèces.
Source: www.santelog.com