In 1899, a German bacteriologist named Carl Flügge proved that microbes can be transmitted ballistically through large droplets that emit at high velocity from the mouth and nose. His method for proving the existence of these “Flügge droplets” (as they came to be known) was to painstakingly count the microbe colonies growing on culture plates hit with the expelled secretions of infected lab subjects. It couldn’t have been pleasant work. But his discoveries saved countless lives. And more than 12 decades later, these large respiratory droplets have been identified as a transmission mode for COVID-19. Flügge’s graduate students continued his work into the 20th century, experimenting with different subjects expelling mucosalivary droplets in different ways. Eventually they determined, as a 1964 report in the Proceedings of the Royal Society of Medicine put it, that the quantity of expelled Flügge droplets varies markedly based on the manner of respiration: “Very few, if any… droplets are produced during quiet breathing, but [instead, they] are expelled during activities such as talking, coughing, blowing and sneezing.” A single heavy …
Source: quillette.com
Pour l'instant, seuls les masques en tissu sont disponibles pour le grand public dans l'Hexagone. Mais des entreprises travaillent également sur des prototypes beaucoup plus performants. C'est notamment le cas du groupe Michelin, plutôt spécialisé dans les pneus. Son modèle 100% Français est composé d'une partie masque qui va servir à l'infini et une partie filtre, utilisable et lavable 20 fois. Ce prototype qui coûtera 28 euros s'est déjà prévendu à 350 000 exemplaires.
Ce sujet a été diffusé dans le journal télévisé de 20H du 25/04/2020 présenté par Anne-Claire Coudray sur TF1. Vous retrouverez au programme du JT de 20H du 25 avril 2020 des reportages sur l'actualité politique économique, internationale et culturelle, des analyses et rebonds sur les principaux thèmes du jour, des sujets en régions ainsi que des enquêtes sur les sujets qui concernent le quotidien des Français.
Source: www.tf1.fr
TRIBUNE. Le déclin de la biodiversité accélérant l’émergence de virus dangereux pour les populations humaines augmente les risques de transmission des pathogènes et l’émergence des maladies associées, soulignent, dans une tribune au « Monde », seize dirigeants d’organismes scientifiques.
Source: www.lemonde.fr
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Source: sante.fr