Cette étude de modélisation d’une équipe de virologues de la Harvard Chan School (Boston) tente de faire la part des choses » entre l’impact d’une plus forte transmissibilité et l’impact de la capacité d’échappement immunitaire d’un variant, sur l’évolution d’une pandémie. En d’autres termes, quel est la part de ces phénotypes viraux sur la sévérité et l’ampleur d’une épidémie et que se passe-t-il si un variant combine ces 2 traits ? Ces travaux, présentés dans la revue Cell, montre que le vrai danger est lorsqu’un variant combine une forte transmissibilité et une capacité d’échappement immunitaire.
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